Notre vision pour l'Europe
Renouveau européen: Vers une union plus solide.
Nous pensons qu’unis, nous serons plus forts. Nous pensons qu’unis, nous pourrons nous défendre. Nous pensons qu’unis, nous pourrons reprendre notre destin en main. Mais souvenons-nous : cette idée d’unité européenne ne naît pas des ruines de 1945. Elle est bien plus ancienne. Elle coule dans notre sang, elle traverse nos siècles, elle habite notre culture.
De part ses liens historique
Depuis l’Empire romain jusqu’à Napoléon, depuis le Saint-Empire germanique jusqu’aux tragédies du XXᵉ siècle, un fait demeure : l’Europe a toujours compris que l’union fait la force. Tous ceux qui ont tenté de la dominer, tous ceux qui ont rêvé de la conquérir, l’ont fait parce qu’ils savaient qu’un continent rassemblé est invincible.
Mais l’Europe ne s’est pas seulement unie par les armes. Elle s’est unie par sa culture, par ses racines, par ses liens de sang. Les familles royales d’Europe en témoignent : la reine Victoria, surnommée la « grand-mère de l’Europe », voyait ses enfants et petits-enfants régner sur presque toutes les monarchies du continent. L’Europe a parlé d’une seule voix lorsqu’elle a exploré le Nouveau Monde, lorsqu’elle a partagé ses terres, lorsqu’elle a tracé ses routes commerciales.
Pourtant, cette unité, parfois rêvée, souvent bafouée, n’a jamais suffi à garantir la paix. Les guerres nous l’ont rappelé, avec une brutalité que nul ne peut ignorer. Et c’est là que les Pères fondateurs sont intervenus : Schuman, Adenauer, De Gasperi, Monnet. Hommes de frontières, hommes d’exil, hommes de guerre et de résistance, ils ont compris ceci : la paix ne se construit pas par la puissance, mais par la réconciliation.
Adenauer proclamait :
« L’Europe ne sera possible que si une communauté des peuples européens est rétablie… »
Schuman déclarait :
« La contribution qu’une Europe organisée et vivante peut apporter à la civilisation est indispensable au maintien des relations pacifiques. »
Monnet avertissait :
« Aussi longtemps que l’Europe restera morcelée, elle restera faible, et sera une source constante de conflits. »
Ils ont agi. Ils ont transformé le charbon et l’acier, instruments de guerre, en instruments de paix. Ils ont montré que la coopération économique pouvait devenir le socle de la coopération politique. Ils ont fait de la rivalité une ressource partagée, et de la peur une force commune.
Pour faire face aux grands géants de ce monde
Aujourd’hui, nous faisons face à de nouveaux géants : les États-Unis, la Chine, la Russie. Aujourd’hui, nous voyons nos voix s’affaiblir, nos forces se disperser, notre continent observer plutôt que décider. Mais souvenons-nous : l’Europe renaît lorsqu’elle choisit l’union.
Unis, nous serons plus forts. Unis, nous serons respectés. Unis, nous serons souverains. Unis, nous reprendrons notre destin en main.
Le temps de l’Europe morcelée est révolu. Le temps de l’Europe unie est arrivé. Et ensemble, nous écrirons l’histoire.
Pour repartir à zéro
Les citoyens européens observent leur continent et leur pays avec inquiétude et parfois colère. Ils constatent que l’Union européenne, malgré ses ambitions et ses protections, n’est pas toujours appliquée de manière cohérente. Les accords commerciaux, comme celui avec le Mercosur, soulèvent des inquiétudes : l’ouverture massive des marchés à des produits à bas coût, comme la viande, le sucre ou le soja, semble désavantager les filières locales, alors que les normes européennes y sont jugées trop peu contraignantes. Les citoyens se demandent si l’Europe protège réellement ses agriculteurs ou si elle les soumet à une concurrence inégale.
Dans le domaine économique, la pression fiscale et réglementaire est une préoccupation majeure. Le coût du travail, la hausse des factures d’énergie, les taxes et les charges étouffent la motivation et limitent la capacité des entrepreneurs à investir et à augmenter les salaires. Les citoyens voient dans ces contraintes un frein à la prospérité et à l’initiative individuelle. Ils souhaitent une simplification des normes, une réduction des obstacles bureaucratiques et une reconnaissance du rôle central de la société civile dans la vitalité économique.
Le secteur industriel reste également source d’inquiétude. La fermeture de sites emblématiques et la perte d’emplois dans la sidérurgie, l’automobile ou d’autres industries traditionnelles renforcent le sentiment d’abandon. Beaucoup estiment que l’État, tout comme l’Europe, n’a pas su définir une stratégie claire et durable pour soutenir ces secteurs. Dès le départ, l’Union européenne aurait pourtant dû aligner tous les pays au niveau social — salaires, protection sociale et conditions de travail — afin d’éviter une concurrence déloyale entre États et de préserver l’emploi industriel. Les citoyens souhaitent que l’Europe retrouvent une capacité à encourager l’investissement et l’innovation, tout en laissant aux acteurs économiques la liberté de décider de la répartition des ressources.
Sur le plan social et politique, les citoyens européens sont préoccupés par la distance qui s’est créée entre eux et les institutions. Les systèmes actuels, comme la Ve République en France, concentrent le pouvoir entre quelques mains, éloignant les citoyens des décisions qui les concernent. L’abstention massive et la faible participation électorale témoignent d’un malaise profond : les citoyens ont le sentiment que leurs voix ne comptent pas et que la souveraineté populaire est bafouée.
Nous les Européistes, savons aussi que l’Union européenne telle qu’elle existe aujourd’hui n’est pas parfaite. Trop souvent, ce sont les intérêts des puissances et des lobbies qui priment sur l’intérêt général des peuples européens. Trop souvent, l’Europe semble lointaine, inaccessible, incapable de répondre aux attentes de ses citoyens.
Nous ne pouvons pas nous contenter de ce constat. Nous ne pouvons pas rester spectateurs. Nous voulons changer cela. Nous voulons aller plus loin. Nous voulons réécrire les fondations mêmes de notre Union, pour qu’elle devienne enfin l’instrument de justice, de liberté et de prospérité qu’elle était destinée à être. Comme certains appellent à une Sixième République en France pour réinventer leur nation, nous appelons à une refondation européenne, capable d’être transparente, démocratique et efficace.
Cette refondation ne sera pas un simple ajustement technique. Elle sera une révolution institutionnelle et morale. Nous voulons une Europe qui protège, mais qui libère. Une Europe qui régule, mais qui innove. Une Europe qui affirme ses valeurs universelles tout en respectant la diversité de ses peuples. Une Europe capable de prendre des décisions fortes sur le climat, la sécurité, la défense, l’économie et la justice sociale. Une Europe qui soit forte dans le monde, juste pour ses citoyens, fidèle à son histoire.
Comme nous bâtissons un immeuble nous reconstruirons l'Europe !
Découvrez les mesures et les ambitions qui guident notre projet pour une Europe forte et unie. Ensemble, construisons un avenir meilleur pour tous les citoyens européens:
Immigration
L’Europe est une terre d’accueil. Depuis toujours, elle tend la main à celles et ceux qui cherchent la paix, la liberté, ou simplement une vie meilleure. C’est ce qui fait sa grandeur : notre continent est né de la rencontre des peuples, du dialogue et de la solidarité.
Mais l’accueil ne signifie pas le désordre. L’hospitalité n’efface pas la loi.
Ouvrir nos portes à ceux qui fuient la guerre, la misère ou la dictature, c’est un devoir moral.
Mais vivre ici, sur le sol européen, c’est partager nos valeurs, respecter nos règles et contribuer à la communauté.
Ceux qui choisissent l’Europe doivent savoir qu’ils ne viennent pas dans un territoire sans repères.
Notre démocratie repose sur la liberté, l’égalité entre les femmes et les hommes, la laïcité, la tolérance et le respect mutuel.
Ces principes ne sont pas négociables : ils sont le cœur de notre civilisation politique.
Ainsi, oui, l’Europe accueille à bras ouverts ceux qui veulent construire, apprendre, travailler, vivre en paix.
Mais elle sera intransigeante avec ceux qui rejettent ses lois, méprisent ses valeurs ou troublent la cohésion de ses peuples.
Car l’hospitalité suppose la réciprocité : on ne vient pas en Europe contre elle, on vient en Europe avec elle.
1. Reprendre le contrôle de nos politiques d’accueil
La migration n’est ni une menace ni une fatalité. Elle doit être organisée, maîtrisée et assumée par la Nation.
Nous affirmons le droit souverain de l’État à décider qui peut entrer, pour quelles raisons, et dans quelles conditions.
Une gestion claire et prévisible des flux migratoires est la garantie d’une démocratie forte et responsable.
2. Protéger nos frontières et nos valeurs
Les frontières ne sont pas des symboles d’exclusion, mais des instruments d’ordre et de justice.
Elles permettent de lutter contre les trafics, la traite humaine et les filières clandestines.
Protéger nos frontières, c’est aussi protéger la vie de ceux que les passeurs exploitent et mettent en danger.
3. Accueillir dignement, intégrer pleinement
L’accueil d’un étranger doit aller de pair avec un accompagnement vers l’intégration : apprentissage de la langue, respect des lois, accès à l’éducation et au travail.
La République doit offrir les moyens de réussir, mais aussi exiger l’adhésion à ses valeurs : égalité, laïcité, liberté, fraternité.
L’intégration n’est pas l’effacement des différences, c’est la participation à un destin commun.
4. Lutter contre les abus sans renier nos principes
La fermeté est légitime face à la fraude et à l’exploitation des dispositifs d’asile ou de séjour.
Mais elle doit toujours s’exercer dans le respect du droit et de la dignité humaine.
Refuser les abus ne signifie pas refuser l’humanité : la République ne renverra jamais une personne vers la persécution ou la mort.
5. Coordonner nos efforts au niveau européen et international
Les migrations sont un défi mondial ; elles ne peuvent être gérées par un seul pays.
La France doit agir avec ses partenaires pour :
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stabiliser les régions d’origine,
-
soutenir le développement,
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partager équitablement les responsabilités d’accueil.
La solidarité internationale est la meilleure prévention des migrations forcées.
Retraite
La question de la retraite occupe une place centrale dans le débat public. Avec le vieillissement de la population, la pression démographique et les inégalités entre générations, il devient indispensable de comprendre les forces et les faiblesses des trois grands systèmes : la répartition, la capitalisation et la retraite à points. Chacun présente des avantages réels mais aussi des limites importantes qui influencent directement la vie des citoyens.
La réforme des retraites du gouvernement Macron, en France, impose aux travailleurs de rester plus longtemps au travail : l’âge de départ passe de 62 à 64 ans, et il faut cotiser davantage d’années pour prétendre à une retraite complète. Cette réforme révèle ses limites dès qu’on regarde la réalité du terrain : les métiers physiques deviennent insoutenables pour de nombreuses personnes, ceux qui ont connu des interruptions de carrière – chômage, maternité ou temps partiel contraint – risquent de se retrouver avec des pensions dérisoires, et les seniors, déjà fragilisés, peinent à retrouver un emploi. Cette réforme, imposée sans véritable débat démocratique, a provoqué colère et manifestations dans tout le pays, signe que les citoyens sentent qu’on les spolie de leurs droits.
Le système de retraite par répartition repose sur la solidarité : les actifs financent les pensions des retraités. Mais ce système est fragilisé par le vieillissement de la population et par des décisions politiques qui rendent l’avenir des pensions incertain. De plus, le fait que les élus bénéficient d’une retraite plus avantageuse et plus rapide à obtenir représente un coût important pour l’État et constitue un inconvénient, car il alimente un sentiment d’injustice sociale tout en mobilisant des fonds publics qui pourraient être alloués à d’autres priorités. Tandis que d’autres, qui ont travaillé toute leur vie, voient leur effort mal récompensé. La justice sociale semble ici compromise, et le financement des retraites devient une source permanente de tensions.
Lien d'une documentation: La retraite des élus VS celle des salariés ordinaires actuellement
La retraite par capitalisation, qui consiste à épargner individuellement pour sa propre retraite, promet autonomie et rendements potentiellement élevés. Mais elle comporte des risques majeurs : les marchés financiers fluctuent, l’inflation grignote le pouvoir d’achat, et ceux qui commencent à épargner tard ou qui disposent de faibles revenus se retrouvent avec des pensions insuffisantes. Contrairement au système par répartition, la capitalisation sacrifie la solidarité sur l’autel de la rentabilité, transformant la retraite en un jeu de hasard financier.
Quant à la retraite à points proposée par plusieurs Partis, elle promet une modernisation du système mais révèle rapidement ses limites. Les carrières irrégulières, les emplois précaires et les interruptions de carrière peuvent retarder l’accès à la retraite. La valeur des points peut changer à tout moment, rendant le montant final imprévisible. Et, au final, certains pourront partir à 60 ans tandis que d’autres devront travailler beaucoup plus longtemps, creusant les inégalités entre retraités.
Notre responsabilité est simple : protéger ceux qui ont construit notre société, garantir l’équité et assurer la sécurité pour tous. Aucun système n’est parfait, mais nous pouvons créer un modèle qui allie solidarité, stabilité et liberté individuelle. C’est ainsi que naît notre projet de système de retraite à 4 piliers, un projet qui affirme que la force d’un pays se mesure à la dignité qu’il offre à chacun de ses citoyens.
Pour nos villes:
1. Politique de regroupement des villes limitrophes
🎯 Objectif global
Fusionner les communes qui se touchent pour créer une ville unifiée, plus efficace, plus attractive et moins coûteuse, tout en maintenant une forte proximité avec les habitants grâce à un système d’arrondissements/districts.
Pourquoi regrouper les villes ?
✔ Mutualisation des moyens financiers
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Fin des doublons budgétaires entre communes.
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Un seul budget, plus puissant, permettant des projets d’envergure.
-
Moins de dépenses inutiles, plus d’investissements utiles.
✔ Réorganisation du personnel
-
Une seule administration centrale.
-
Meilleure répartition des effectifs selon les besoins.
-
Plus de cohérence, plus de rapidité, moins de bureaucratie.
✔ Travail de meilleure qualité
-
Un seul plan d’action, une seule stratégie.
-
Moins de divisions = plus d’efficacité.
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Services publics mieux organisés, mieux coordonnés et plus performants.
✔ Plus d’attractivité et de croissance
-
Une grande ville attire plus d’entreprises, de commerces et d’habitants.
-
Rayonnement renforcé au niveau régional, national et international.
-
Plus d’activité économique = plus de bénéfices pour tout le territoire.
✔ Cohérence des projets et des infrastructures
-
Urbanisme, transports, circulation, zones vertes : tout devient harmonisé.
-
Plus de coupures ou de décisions contradictoires entre communes voisines.
Organisation du nouveau territoire unifié
La fusion ne doit jamais compliquer la vie des habitants.
Pour cela, la ville unifiée s’organise selon un modèle à deux niveaux :
🏛️ Niveau 1 — Le Centre : l’Hôtel de Ville (administration centrale)
C’est le cœur de la grande ville. Il gère :
- la stratégie générale,
- les budgets,
- les grands travaux,
- les transports,
- la fiscalité,
- les politiques globales (logement, sécurité, environnement…).
Il coordonne toute la ville, mais ne remplace pas la proximité locale.
🏠 Niveau 2 — Les Districts / Arrondissements / Quartiers : les Maisons de District
Chaque ancienne commune devient un district (ou arrondissement), avec sa propre “maison de district”.
Ces points locaux assurent :
- les démarches administratives courantes,
- l’état civil,
- les inscriptions scolaires,
- le service social de proximité,
- les demandes rapides,
- les petites décisions de quartier.
Ils permettent aux habitants de ne jamais devoir traverser la ville pour leurs papiers.
Chaque district dispose :
- d’un maire-délégué,
- d’un lien direct entre les habitants et la grande administration.
3. Bénéfices pour les habitants
✔ Proximité conservée
Grâce aux maisons de district, toutes les démarches restent à côté de chez soi.
✔ Services publics améliorés
Plus de moyens = plus d’efficacité, plus de qualité, plus de modernité.
✔ Ville plus forte et plus dynamique
Une entité plus grande a davantage de poids économique et politique, en plus d'attirer un grand nombre de personnes, touristes.
✔ Fiscalité harmonisée
Plus simple, plus juste, plus lisible.
✔ Meilleure cohérence du territoire
Transports, routes, urbanisme, sécurité : tout fonctionne ensemble.
La fusion des communes limitrophes crée une ville plus puissante, plus efficace et plus attractive, tout en maintenant une proximité forte avec les habitants grâce à un réseau de maisons de district.
C’est une organisation qui combine :
Efficacité centralisée + Services locaux accessibles + Économie de ressources.
2. Mobilité et circulation
- Mise en place d’équipes de terrain pour observer et analyser les bouchons et les flux de circulation. Celles-ci seront coordonnées par l'hôtel de ville.
- Création de zones piétonnes dans tous les quartiers, sécurisées et agréables.
- Mise en place d’itinéraires cyclables protégés dans chaque quartier, avec une signalisation renforcée, des limitations de vitesse adaptées et des infrastructures de sécurité modernisées (feux tricolores, panneaux stop, marquage au sol,etc.).
3. Urbanisme et aménagement
- Rachat et réhabilitation des bâtiments abandonnés pour créer des logements, espaces verts, lieux culturels et commerces attractifs.
- Construction de nouveaux logements sociaux et HLM pour garantir que personne ne soit à la rue.
- Mise en place de salles communautaires ouvertes 24h/24.
4. Logement et conditions de vie
- Accès garanti à un logement pour tous (achat, location, HLM, logements sociaux gratuits).
5. Sécurité et tranquillité
- Renforcement de la sécurité avec patrouilles régulières.
- Installation de caméras de surveillance et bornes d’alerte dans les espaces publics.
- Éclairage public intelligent avec capteurs de mouvement pour assurer sécurité et économie d’énergie.
6. Sports, loisirs et culture
- Création d’espaces sportifs et de loisirs gratuits et accessibles à tous : city-stade, terrains de football, tennis, parcours Nerf, terrains multi-sports, espaces pour festivals et spectacles.
- Possibilité de réserver salles et installations pour associations, clubs, écoles et particuliers.
- Organisation régulière d'événements culturels et sportifs pour dynamiser la ville.
7. Préservation
A - Patrimoine
- une équipe d’artisans affiliée à plusieurs bâtiments historiques de la ville et des communes environnantes partenaires.
- une technologie sera à leur disposition :
- scanner 3D
- IA
- Des protections invisibles tels que le nano-revêtement et le verre intelligent protégeront les façades et les rendront hydrophobes et oléophobes.
B- Environnement
- des écogardes seront chargés de surveiller les parcs de la commune. Ils serviront à prévenir les incendies, braconnage et dégradations.
- Les villes produisent une partie de leur propre énergie via des panneaux solaires, des toits solaires et des micro-éoliennes silencieuses.
- Jardins partagés dans chaque quartier.
- Espaces verts comestibles (plantes aromatiques libres d’accès).
8. Santé
- Création de Maisons de Santé Pluridisciplinaires dans les districts.
- Programmes municipaux de prévention (nutrition, addictions, mental, seniors).
9. Jeunesse et Education
- Bourses municipales pour les jeunes talents (arts, musique, sport).
- Pass Jeune municipal (culture + sport + mobilité).
- Espaces d’études gratuits ouverts le soir avec encadrement.
- Réaménagement moderne des écoles (sécurité, numérique, classes vertes).
10. Numérique, innovation et modernisation
- Déploiement massif du Wi-Fi public gratuit partout dans la ville.
- Plateforme unique pour signaler un problème en 1 clic (nid-de-poule, éclairage…).
11. Participation citoyenne
- Consultation régulière des habitants sur leurs besoins et projets de la ville.
- Encouragement de l’engagement associatif et du bénévolat pour renforcer le lien social.
- Budget participatif (“les habitants décident de 5% des dépenses annuelles”).
12. Finances publiques et transparence
- Transparence totale avec tableau de bord public.
- Lutte renforcée contre gaspillage et doublons entre les institutions du gouvernement.
13. Propreté et Hygiène
- Renforcement du nettoyage de nuit.
- Robots de nettoyage pour zones piétonnes.
- Davantage de toilettes publiques modernes & autonettoyantes.
- Chaque quartier dispose de bornes de recyclage intelligentes qui récompensent les citoyens avec des réductions dans les commerces locaux.
- Mise en place de camions poubelles robotisés (1 personne au lieu de 3).